Ce que je disais à l'instant, c'est que la journée d'aujourd'hui (mardi) a commencé hier (lundi)... Tout d'abord, je tiens à préciser que nonobstant ce que j'écrivais dans mon billet précédent [la fête des paires], j'ai connu lundi soir la plus belle fête des pères qui soit; mes filles m'ont écrit les plus beaux mots d'amour qui soient (des mots que la pudeur m'empêche de reproduire tant le bonheur se doit de conserver un certain secret sinon un secret certain ); ensuite mon fils m'a cuisiné (oui, pour moi, me sachant amateur), le plus merveilleux et le plus délicieux steak tartare qui soit; juré, de ma vie, jamais je n'en ai mangé d'aussi bon. Ce garçon, je vous le dit est bon à marier.
Ma journée est toute entière marquée par ces bonheurs de la veille...
Lundi en fin de journée j'ai donc présenté une offre d'achat sur un triplex, visité la veille (dimanche... il aurait fallu que ce soit un duplex, mais bon....). Jusqu'alors, et compte tenu de la suite (tartare et mots d'amour) tout allait bien... jusqu'à ce que je reçoive un appel, vers 15h00, m'apprenant qu'une autre offre allait s'ajouter à la mienne... téléphone, négociation, bonification, etceteron... course à voiture au nord (madame), descente à vélo au sud (because l'heure de pointe) pour recueillir la signature de monsieur, retour au bureau.... bref, envoi d'une offre bonifiée, attente, et... acceptation! Ce qui est toujours réjouissant. Particulièrement pour Katie et Anthony (et je me réjouis tout autant pour eux et avec eux car je me suis pris d'affection...).
Pourquoi je raconte tout ça? Parce que je suis heureux, oui. Mais aussi, parce que je réalise que je ne peux pas parler des autres nouvelles qui concernent, plusieurs suivi téléphoniques, quatre appels pour régler quelques peccadilles, un nouveau mandat à venir, un nouveau client à rencontrer, deux prises de rendez-vous importants et même, par-dessus le tout, recevoir chez moi environ soixante collègues pour la fête annuelle estivale du bureau... (ici, quand je dis JE, il faut entendre NOUS, et surtout, ELLE...).
En conclusion, je dirai... comme le titre de ce billet...
À défaut, je l'écrirai... peut-être... un jour.
Tiens, il est demain...
