Juste un mot pour faire suite au billet précédent; je rentre à l'instant d'une présentation d'une offre d'achat sur une très belle propriété située sur une des rues les plus prestigieuses du Plateau. J'ai passé un peu plus d'une trentaine de minutes à justifier mon offre avec les vendeurs. Qui sont restés de marbre (habile négociateur, sans aucun doute). En rentrant, je me sens comme au cours d'une partie d'échec que l'on vient d'interrompre... en attente, donc, du prochain coup, qui sera joué par l'autre partie...
Je ne voulais pas écrire «la partie adverse» car je ne crois pas qu'un vendeur et un acheteur soient forcément des adversaires. Et si ça devait être le cas, mon mandat aurait été de changer cet état d'esprit. Pourtant, en écrivant ces lignes, j'ignore encore à quel j'y suis parvenu ou non.
Et pour poursuivre sur le billet de la veille, concernant Bobby Fisher et l'Islande, je me suis souvenu ce matin que je partirai là-bas, à Reykjavik, en juin prochain... drôle de hasard? (si au moins il aurait été question de Las Vegas ou Monaco ou Atlanttic City, par exemple, j'aurais pu conclure en citant le poète Mallarmé: «Un coup de dé, jamais n'abolira le hasard»... mais, bon, c'est Reykjavik, alors...).
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