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PATRICE DANSEREAU

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Home Archive for December 2007
Ben, oui, le titre le dit bien: je suis en vacances... Que puis-je ajouter? Que je vous souhaite à tous, amis lecteurs, familles, collègues et autres gens de bien et gentes dames, un merveilleux temps des Fêtes, avec excès en tout genre (incluant repos, jeûnes et désirs multiples)...

Je m'en vais là où il n'y a pas d'Internet sinon, à fureter dans quelques lieux branchés (on verra bien)...

À vous tous je dis: à bientôt...
Nos amis nous ressemblent souvent, la chose n'est pas nouvelle. Ainsi par exemple, plusieurs de mes amis sont comme moi, très réfractaires à la technologie et surtout, méfiants à l'égard de tout ce qui sollicite quelque forme d'adhésion. C'est la raison, plus ou moins avouée qu'ils me rapportent quand je leur demande pourquoi ils ne me font pas part de leur commentaire dans l'espace réservé à cet effet, préférant plutôt m'envoyer des messages sur mon courriel. «Il faut posséder un compte Google ou quelque chose comme ça...», m'ont-ils dit. Oui, c'est vrai, mais le compte en question se limite à nous demander une adresse courriel, et rien d'autre. Sur Yahoo ou Hotmail, ça fait l'affaire — et ça ne fait pas mal.

Je dis ça comme ça, en passant...

Sinon la vie est belle et il ne reste que 24 heures avant les vacances du temps des Fêtes...
Mon billet sur Photosphop (15 décembre 2007) a délié les langues de mes amis et Catherine m’écrit pour me dire que, quant à elle, le travail opéré sur ses propres photos fut des plus heureux. Elle écrit : «Certes, j'ai bien conscience que ce n'est plus tout à fait / plus du tout moi, cette femme en 2D/figée/déridée et pourtant, pourtant, je ne peux m'empêcher de me sentir "mieux" (plus jolie, plus forte, plus sure de moi) en les regardant.»

Et je suis bien d’accord avec elle, car il en va de même pour moi. C’est ce que je lui ai dit en ajoutant : «Je crois justement que, si ces photos plaisent tant, c’est parce qu’elles nous renvoient autre chose que le moi que l’on connaît. J’ai remarqué que les photos que je préfère de moi (avec ou sans Photoshop), sont toujours celles où les autres trouvent que je ne me ressemble pas. C’est là où je ne me ressemble pas que je trouve souvent le plus de vérité. Celle, précisément, que l’on ne voit pas sur les portraits ordinaires. C’est comme une nouvelle face qui s’éclaire, une nouvelle dimension qui surgit.»

Comme quoi, le malheur n’est pas dans la technique, mais dans l’utilisation qu’on en fait. Ici, le faux ou le leurre, n’est pas en question; le problème se résumerait plutôt à ceci : on veut le leurre et l’argent du leurre.


Photo: Mathieu Manikowski
L'affaire Sarkozy-Bruni ne cesse d'alimenter la chronique (même en se bouchant le nez, les oreilles les yeux et la bouche, on n'y échappe pas). C'est le temps des fêtes, faut croire, qui laissera en arrière plan les enjeux militaro-industriel des grandes puissances (ou, devrais-je écrire: des grands et des puissants) et les centaines de milliers de victimes plus victimes encore...

Cela dit, parmi les nouvelles à la une d'Internet, j'avais lu, hier, ce titre qui m'avait fait sourire (sinon réfléchir): Sarkozy se rendra-t-il visiter Benoit XVI au Vatican en compagnie de sa maîtresse? Voilà une question qui replace les vrais enjeux dans leur contexte...

Je suis déçu, ce matin, de ne retrouver ce titre qu'à la page 49 de Google...
L'image possède un bel avenir. Mon ami Mathieu, photographe de son métier, dont le talent ne lui en réserve pas moins (d'avenir), m'écrit pour commenter mon billet du 15 décembre dernier; lui qui connaît bien les manipulations de Photoshop et qui ne se gêne pas pour en utiliser les ressources, tout en se désolant que l'on soit obligé de se falsifier pour mieux s'apprécier, m'écrit donc ce qui suit:Je trouve intéressante ta réflexion sur photoshop qui va un jour modeler nos corps réels. En fait, je pense que c'est déja le cas, si on regarde les poupées siliconnées, qui piétinent, nombreuses -et de plus en plus jeunes, – ce continent et surtout son Sud.
Je trouve leurs formes vectorielles, tout comme le design de tous les objets nous entourant, tous sortis de la main mathématique - et à ce qu'il parait parfaite, - de l'ordinateur que nous chérissons tant de nos jours. Je ne serais pas étonné, que l'esquisse de ce qui sera une opération plastique, ne soit fait par un logiciel d'ordinateur, utilisant les vecteurs pour dessiner les formes.


Il n'y a donc pas que Mathieu qui a pris connaissance de mon billet: l'actualité semble me souffler à l'oreille que le président français, Nicolas Sarkozy, lui-même (émule de Bush et disciple de son précepteur, Karl Rove), a fait sienne l'idée que l'image est au pouvoir ce que le pouvoir est à l'image (c'est-à-dire, un et un seul concept). En orchestrant une idylle avec une vedette du show-bizz, elle-même issue du milieu de la mode (l'Image dans toute sa suprématie), il vient nous dire que désormais, tout discours et tout contenu est soluble dans la mise en scène d'une image qui vivra indépendamment de tout autre discours.

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais il y a des jours, comme aujourd'hui, où je suis bien content de travailler dans la pierre, pour parler comme ma grand-mère. Le concret des maisons, avec toute la solidité des rêves qui les accompagne, m'apparaît mille fois plus réel que ces fictions qui se font passer pour autre chose qu'une mauvaise fiction (mon problème est que j'aime la fiction, mais la bonne fiction, pas celle à la sauce Disney, fut-elle américano ou euro — tout ça me rend parano).

p.s. Pour des raisons que je laisserai aux jugements des lecteurs, ce billet ne contiendra aucune image (et tant pis pour ceux et celles qui craquent pour une jolie brune).

La société du spectacle, il faut le répéter, c'est d'abord et avant tout le règne de l'image. Précisons: la prédominance de l'image sur la réalité. Dorénavant, c'est à l'image qu'il faut croire et se référer avant d'avoir recours à nos sens. On pourrait parler de déréalisation du réel. C'est ce que la publicité a parfaitement compris et assimilé. Si l'Image (ci-haut) vaut mille mots, je n'en dirai donc pas plus (mais je me demande si Photoshop sera bientôt utilisé pour remodeler nos corps «réels»).
Au lendemain de notre fête de bureau, je constate avec effroi que je suis peut-être affligé de cette tare familiale qui poursuit mes aïeux de la branche Dansereau. Mon oncle Pierre, toujours bon pied bon œil à 94 ans en est atteint depuis belle lurette. Mon oncle Paul et ma tante Lyne en était pareillement affligé. Mon père, le plus jeune de la famille, semble y avoir échappé. Son métier de psychanalyste en aurait souffert. Mais pour les autres comme pour moi ce matin, rien à faire: ils sont (ou était) totalement dur de la feuille. Tous des malentendants. Je répète donc pour ceux qui n'auraient pas entendu: sourd.

J'espère que ce n'est qu'un malaise passager dû à une musique tonitruante, rugissante et hurlante (la surdité est-elle la raison pour laquelle je dois toujours répéter mes adjectifs...?)

Ma résolution pour l'heure: je serai plus lent, demain...
Barbara m'a envoyé cette blague:
Le malheur des Russes c'est que, non seulement tout ce que leur avaient dit les communistes à propos de l'économie socialiste était faux, mais qu'en plus, tout ce qu'ils leur avaient dit au sujet de l'économie capitaliste était vrai.

J’avais donc tout faux. Et doublement faux. Non seulement je ne devrais plus conseiller à mes acheteurs d’acheter des plex qui dépassent dix fois les revenus, mais j’avais également tort d’écrire que l’auteur de notre article du 1er décembre, Claude Chiasson, ne me répondrait pas. Non seulement a-t-il pris la peine de publier, in extenso, la lettre que je lui avais fait parvenir, mais il a consacré l’entièreté de sa chronique à répondre à mes questions. La conclusion, selon lui : un plex qui se vend plus de dix fois les revenus est un mauvais investissement qui trahit un marché hautement spéculatif, lequel profite du trop grand laxisme des banques. Pour une bonne part, sa réflexion se nourrit de l’exemple américain (pour vous en convaincre,écrit Claude Chiasson, regardez ce qui se passe au sud de notre frontière).

Je ne cherche pas ici à faire querelle d’économiste, mais une chose est certaine : le marché immobilier canadien (et surtout québécois) ne saurait en aucun cas se comparer au marché américain et en premier lieu, par le pourcentage que représente les prêts dits à risque. Grosso modo, aux Etats-Unis, cette pratique du prêt à risque (destiné à ceux qui n’ont pas la cote de crédit suffisante pour un prêt conventionnel) représente plus de 30% du marché hypothécaire alors qu’il tourne autour de 5% au Canada.

Il n’est pas surprenant qu’un conseiller en placement privilégie les investissements à la bourse (Si une personne doit choisir entre l’immeuble et les actions, écrit Claude Chiasson, la seconde avenue m’apparaît plus favorable…). Il reste cependant qu’il oublie du même coup que l’immobilier ne répond pas exclusivement à un investissement, mais également à un besoin, bien réel celui-là, et qui est de se loger. Et je devrais également ajouter (à l’attention de mon amie Barbara, cette fois) qu’au-delà du besoin, on rencontre également le désir; pas tant celui d’être propriétaire (mais pourquoi pas), mais également le désir qui prend la forme d’un attachement particulier; ça surgit entre la matière et l’esprit : une maison dégage un esprit; une relation se noue entre soi et le lieu : c’est un détail à l’intérieur ou le charme de l’extérieur, c’est le quartier dans son ensemble ou une odeur familière ou encore la réminiscence quelconque d’un souvenir, au détour d’une porte entrouverte… c’est parfois innommable ou incertain, mais elle existe bel et bien, cette séduction…

Et c’est là où je veux en venir finalement. Le plaisir, le désir et la séduction… C’est bien loin de l’économie, loin de la politique et des théories sociales… je ne dis pas que ça n’y participe pas, mais je crois qu’il importe de revenir à cette notion de désir, de sujet et de souveraineté qui sont, de plus en plus, mis à mal par des économistes, sociologues ou politiciens.

Voilà pour l’heure, ce que je voulais dire. Et quand bien même j’aurais tout faux, je ne m’en sentirais pas plus mal, car j’éprouve un malin plaisir à me sentir en désaccord avec les uns et les autres qui sont eux-mêmes en désaccord l’un avec l’autre. Je me sens soudain plus vivant.

Il faudra bientôt que je vous parle de ma lecture des mémoires de Philippe Sollers qui a la bonne habitude d’être régulièrement détesté par la critique (politique ou littéraire, c’est la même chose). Ça s’intitule Un vrai roman, et ça se lit comme un vrai roman.
Une fois n'est pas coutume, je vous retransmets l'invitation que j'ai reçue ce matin et qui pourrait être une merveilleuse occasion de s'initier à une forme d'architecture peu connu, même si elle représente nos véritables racines culturelles. Voici la chose, diffusée par L'Avenue du Mont-Royal, l'organe de presse de la Société de développement de l'artère commerciale de l'avenue du Mont-Royal (la SIDAC, pour faire court):

CONSTRUCTION D'UN WIGWAM TRADITIONNEL
Dans le cadre de Joyeux décembre! et en compagnie de Robert Seven-Crows, porteur de traditions d'origine Metis/Mi'kmag, participez à la construction grandeur nature d'un wigwam traditionnel. Les place pour cet atelier sont limitées.
 
Le wigwam est une habitation des nomades Algonquiens en forme de dôme ou de cône, qui était très utilisée dans l'Est de l'Amérique du Nord. La structure circulaire faite de perches était recouverte d'écorce. Les pièces d'écorce étaient cousues ensemble à l'aide de racines d'épinette ou de sapin (maintenant c'est la toile de coton et la corde de fibre naturelle qui sont utilisées). Le sol était recouvert de branches de sapinage afin de rendre l'habitation confortable, en isolant et parfumant le wigwam. La fumée du feu central qui brûlait tout au long de l'hiver s'échappait par un trou dans le toit. Une ou plusieurs familles pouvaient y loger en temps de chasse, de cueillette et de pêche.
 
Date : dimanche 9 décembre 2007
Heure : 13h00 à 16h00
Lieu : Parc des Compagnons de St-Laurent (angle Mont-Royal / Cartier)
Tarif : 10 $, tarif famille 8 $ par personne pour 3 personnes et plus.
Réservations au : 514-522-3797 poste 26


Mon amie Barbara a bien voulu répondre à mon billet du 1er décembre. Avec verve et conviction, elle m,a permis de me replonger dans la prose anarchisante de ma jeunesse et je n'hésite pas à lui répondre à mon tour, que c,est par cette fougue et cette passion qu'elle incarne, à mes yeux, une éternelle jeunesse. Puisque l'auteur de l'article cité ne m'a pas répondu (si tant est qu'il le fasse), je vous fais donc partager les mots que Barbara m'a écrit:

Lorsqu'il dit "qu'il faut augmenter le nombre des actions sur faiblesse des cours", tu te demandes "depuis quand la faiblesse des cours est signe de profit?" (...) L'idée de ton pote est je crois assez simple (en tous cas, au premier abord). Elle me paraît tout à fait courante et admise dans le monde enchanteur du boursicottage. Le problème de "lecture" s'explique par le fait que les conseillers en fertilisants n'osent pas énoncer clairement leurs idées, parce que ça ne fait pas très propre. Il y a toujours des mouvements baissiers des actions, n'est-ce pas? Or, les variations sont très fortes en ce moment, ce qui panique pas mal de gens et en arrange d'autres. Le conseil est très banal et suivi par tous les spéculateurs du monde : tu achètes une action à vil prix en misant sur le fait qu'elle va remonter. Pour les analystes financiers, le Dieu du Marché a décidé, une bonne fois pour toute, que tout ce qui baisse doit remonter. (...)

C'est chouette que les banques fassent toujours plus de pognon, c'est merveilleux d'avoir autant de propriétaires, mais c'est moins chouette que les gens montrent avec une telle unanimité qu'ils ne croient guère à la Solidité de l'Entreprise (donc à la stabilité de l'emploi à long terme). Par contre, il faut admettre que les fonctionnaires de la police, les assurances et les compagnies de sécurité peuvent se réjouir car ils sont devant eux d'excellentes perspectives. J'insiste : tout cela est voulu par Dieu, étant entendu que la propriété est un droit naturel comme l'a confirmé Rome au XIXe siècle (authentique). La propriété rend individualiste, donc heureux, responsable et intelligent. La propriété humanise.
(Barbara)

À bon entendeur, salut! (Patrice)


On pourrait se croire retombé en enfance... quand on ose s'aventurer vers le centre-Ville, on jurerait que c'est dimanche... en croisant des inconnus sur la rue, on échange quelques mots sur la température ou on sourit... en rentrant de l'extérieur, les joues rouges et les muscles endoloris d'avoir pelleté la neige, on se souvient soudainement qu'on a un corps... plutôt que de sortir la voiture, on s'habille chaudement et on marche pour aller faire des courses... les urgences au travail ne sont plus urgentes et le temps nous offre un peu plus de temps en abolissant les horaires... Tout cela, c'est la première tempête de neige.

C'est beau et ça transpire la joie. Comme d'aller glisser au parc en plein lundi après-midi.



Ce matin, je suis resté proprement ébahi à la lecture d'un article paru dans mon quotidien préféré. Depuis que je m'intéresse à la chose publique je ne peux plus rester indifférent aux nouvelles économiques puisque de plus en plus, ce secteur de l'activité humaine occupe tout l'espace du discours politique. Mais là n'est pas l'objet de ma discussion aujourd'hui.

Dans cet article, l'auteur, qui tient la rubrique «conseil économique» sous la forme de réponses aux questions des lecteurs, se prononce sur l'opportunité (ou non) d'acheter un immeuble à revenu (ou un «plex», en d'autres mots). Je suis resté stupéfait par le vide sidéral contenu dans ses propos, voire le manque de connaissance de son auteur, sinon des contradictions contenues dans ses conseils...

Dans un premier temps, l'auteur fixe un prix «raisonnable» d'un plex en statuant qu'il ne doit pas dépasser dix fois ses revenus. En d'autres termes, si les loyers rapportent 10 000$ annuellement, l'immeuble ne devrait pas dépasser 100 000$. Dans la réalité, actuellement, ce ratio (qui a peut-être été vrai il y a une quinzaine d'année), est plus près de 1 pour 15, voire de 20, dans le cas des duplex.

De plus, l'auteur ajoute qu'il faut compter au moins 20% de comptant. Erreur. On peut, si notre crédit n'est pas trop mauvais, acheter avec 0% de comptant un duplex, voire un quadruplex. Mais là où son discours est plus fallacieux, c'est lorsqu'il parle de la nécessité d'épargner pour amasser ce comptant. L'épargne, écrit-il, devrait être investie dans des «actions de quelques grandes compagnies canadiennes solides» (comme Nortel, peut-être?). Et il ajoute qu'il faut augmenter le nombre des actions «sur faiblesse des cours»?! (depuis quand la faiblesse des cours est-il signe de profit? On y perd son latin). Tranchons: si l'on doit mettre notre argent de côté en investissant à la bourse pour mieux faire fructifier nos épargnes, pourquoi alors investir dans un plex? N'y a-t-il pas apparence de contradiction?

Je vous passe les phrases tel il vous faudra probablement plusieurs mois de recherche avant de dénicher une propriété offerte à un juste prix ou des conseils aussi courts et lapidaires que une hypothèque à taux fixe de trois à cinq ans amortie sur une période de 25 ans fera l'affaire , quand on sait que les hypothèques sur 40 ans sont parfois avantageuses pour des nouveaux venus sur le marché de l'emploi (notre lecteur qui posait la question initiale n'a que 22 ans). Et que signifie la phrase [une propriété] située dans un bon secteur,mais peut-être pas dans l'une des meilleures rues résidentielles ? Sincèrement, je m'interroge...

J'oubliais: l'auteur se permet également de conseiller à notre lecteur l'achat d'un condo qu'il destinerait à la location, car, selon lui, vu le nombre élevé de ce type de propriété, les prix seraient plus négociables. Si tel est le cas, comment peut-il en conclure que la demande en location puisse être encore bonne? N'y a-t-il pas, encore une fois, contradiction?

Ce que je veux dire, en conclusion, est qu'il est surprenant, sinon stupéfiant, de lire les conseils d'un prétendu conseiller financier ou économique qui se permet d'écrire avec toute l'autorité que lui confère son statut, sur un sujet dont, manifestement, il ne connaît pas les tenants et aboutissants actuels.

Bien entendu, tout cela ne m'empêchera pas de continuer la lecture de mon journal. Ce que par ailleurs je m'empresse de faire, en passant à la section Culture...
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Patrice Dansereau, courtier immobilier et écocourtier chez Via Capitale du Mont-Royal

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