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PATRICE DANSEREAU

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Home Archive for September 2007
Journée chargée, s'il en est. Journée de grande émotion, d'excitation et de réflexion. À travers l'apprentissage de mon nouveau métier, je me rends compte que je me heurte à divers... préjugé (? ce mot à défaut d'un autre). J'entends parfois les voix silencieuses murmurer: «Mais que fait un intellectuel de son genre dans cette galère?» Ou encore: «comment un artsite acceptera-t-il de se compromettre là-dedans?». D'une façon ou d'une autre, c'est toujours la même chanson: «Tu ne fais pas partie de la gang» ou encore: «Tu n'as pas la tête de l'emploi».

Si je doute parfois, je ne me laisse pas décourager pour autant. je serre les dents (ou les poings) et je me dis que je dois continuer à faire les choses à ma manière. Je me dis, en lisant la page couverture du Devoir (samedi-dimanche, 29-30 septembre) qu'une certaine forme d'authenticité finira bien par l'emporter (le sous-titre indiquait: «la quête du vrai, du naturel, de la franchise et du talent brut pourrait détôner des décennies de superficialité et de cynisme»; je l'ai pris personnel, comme dirait mon voisin).

Et je repense à cette histoire: on demande à un groupe de grenouilles d'escalader une haute tour. Elles se lancent toutes à l'assaut quand, bientôt, les premières abandonnent et manifestent leur découragement. Bientôt, elles sont de plus en plus nombreuses à se décourager et à dire haut et fort que tout cela est vraiment impossible. Totalement impossible. Finalement, une seule continue et s'obstine; jusqu'à ce qu'elle atteigne le haut de la tour. Quand, après son succèes on lui demande comment elle a pu atteindre son but, la grenouille victorieuse, un peu perdue, répond: «Excusez-moi, mais je n'entends pas ce que vous me dites. Je suis sourde.»

Voilà mon nouveau défi: parvenir à être sourd aux critiques, doutes et manque de confiance qu'on ne manquera pas de me manifester. Garder le cap et continuer de faire les choses à ma façon. Malgré tout. En vert (couleur de l'espoir) et contre tout.

Bilan du jour (outre ce qui précède): j'ai efectué aujourd'hui ma première visite libre qui aura résulté par un rendez-vous, demain matin, pour prendre une promesse d'achat. Je ne suis pas mécontent...




À suivre, comme d'habitude...
Parmi les plaisirs de ce blogue, il y a celui qui m'aura permis de découvrir la caméra numérique. Hé oui, je faisais partie de ces dinosaures qui ne possédaient pas cet appareil des temps modernes avant de commencer la rédaction de ce blogue. Depuis, j'essaie d'avoir avec moi presque en tout temps, ce petit appareil tellement pratique. Pour saisir le temps qui passe, la beauté éphémère des choses, un assemblage imprévu, une composition inédite et quoi encore. Hier, sur les coups de 17h30, j'ai été surpris de voir au bout de la rue Marie-Anne, ce maginifique arc-en-ciel, saisi instantanément par ma caméra.



La morale de cette histoire: être là au bon moment, certes, mais avec la préparation nécessaire (ici, mon appareil photo). C'est ce qu'on n'a cessé de me répéter au cours de ma formation d'agent immobilier.
Bon, d'accord, j'ai reçu des réponses à ma question, et je constate que, nombreux ou pas, vous êtes assez réfractaires à l'espace «commentaire». tout comme moi, d'ailleurs, puisque dans les 2 ou 3 occasions où j'ai répondu à l'auteur d'un blogue, je l'ai fait en utilisant le courriel.

Oui, merci les copains, de m'avoir répondu avec autant de chaleur, grâce à vous j'ai appris; 1) que j'avais des amis; 2) qu'il me fallait maintenant accroître mon cercle de lecteurs. Pour ceux-là, si vous n'aimez pas les espaces publics, voici mon adresse courriel: pdansereau@lacapitalevemdu.com. On ne peut pas dire que je ne facilite pas la communication...

Alors quoi? La prochaine étape consistera à faire de la publicité pour attirer l'attention sur ce blogue. Pourquoi? Pour favoriser la communication, bien sûr...

p.s (ou, pour respecter le titre de ce billet: p.p.s.): la bonne nouvelle de la journée, c'est que je suis passé chez le notaire avec mes acheteurs, Marie-Josée et Pierre-Emmanuel. C'est toujours bon de voir apposer les signatures en bas d'un document pour marquer ces instants solennels. L'émotion était au rendez-vous, retenue, mais bien palpable. Marie-Josée et Pierre-Emmanuel, je lève mon verre à votre santé!
Êtes-vous nombreux à me lire? C'est la question que je me suis posé ce matin, avec l'espoir que vous me répondiez. Oui ou non, peu importe, puisque mon désir est plutôt d'obtenir une réponse, un signe de vous. Que ce soit ici, à travers l'espace de commentaire réservé à cet effet, par courriel ou par téléphone, je garde toujours espoir d'avoir de vos nouvelles.

J'enchaîne immédiatement sur cette pensée: s'il est important de s'accrocher à l'espoir (synomyne ici de «désir»), il n'est pas toujours évident de savoir ce qu'est l'espoir. Or, je retrouve ce matin cette phrase que j'ai notée durant la conférence (celle qui m'a fait tant pleurer) de Pierre Lavoie, entendue à Québec l'autre jour: l'espoir, c'est un souvenir heureux que l'on réactualise. C'est la madeleine de Proust, le sein maternel ou tout autre bonheur qui nous habite et qu'on recherche à nouveau. Et c'est ainsi que le passé nous permet d'enfourcher l'avenir au présent.

C'est pourquoi, malgré quelque propension au cynisme, je me définirai, malgré tout, comme un réel optimiste. C'est aussi ce qui me fait dire qu'aujourd'hui sera une excellente journée. Et c'est pourquoi, réunissant mon courage à deux mains, je me mets au téléphone dès maintenant pour solliciter de futurs vendeurs.


Avant d'aller plus loin, précisons que le titre de ce billet est un petit clin d'œil à ma directrice Marie-France ainsi qu'à la directrice du Plateau, Nathalie. Si Marie-France a toujours prétendu vouloir «changer le monde», Nathalie, de son côté, est à l'origine du nouveau concept que La Capitale du Mont-Royal entend publiciser ces jours-ci et qui porte le nom de «Restez chez vous». Et nous sommes quelques uns à croire que ce projet est une bonne façon de commencer à changer le monde, en effet...

Nathalie et Marie-France ont donc travailler à mettre en place le concept dont on nous présentait ce matin les grandes lignes, à notre bureau de la rue Beaubien. En gros voici à quoi il se résume: vous êtes propriétaire et à la retraite. Vos besoins changent et vous n'avez peut-être plus la force ni l'envie de supporter l'entretien de votre propriété à revenu (duplex ou triplex ou plus) seul. Il faut tout vendre et quitter votre maison? Peut-être pas. L'alternative est la suivante: un locataire (le vôtre si vous le désirez) peut devenir copropriétaire et partager avec vous la gestion, l'entretien et les responsabilités financières qui vous pèsent. La belle trouvaille, c'est que le programme «Restez chez vous» offre des conditions financières avantageuses au nouveau copropriétaire tout en vous permettant de rester chez vous — comme le dit si bien le concept (et comme on peut en lire davantage sur le site Restez chez vous).

Résultat: «contribuer à maintenir le plus longtemps possible les habitants du quartier dans leur milieu de vie et favoriser l'entraide intergénérationnelle», comme il est écrit dans le carton publicitaire que nous distribuons dans les foyers des quartiers du Plateau et Rosemont.

C'est pas beau ça? Et c'est ainsi que le monde change... J'ai bien envie de dire que c'est aussi beau qu'une fin de journée, vue de la terrasse de ma maison (comme aujourd'hui, au moment d'écire ces lignes).

Hier soir, expérience aussi traumatisante qu'enrichissante: j'ai assisté, en compagnie de ma fille et de son amie, à un concert de musique donné au Centre Bell. Deux chanteurs (que je connaissais un peu) se sont produit à la plus grande joie d'une foule en délire. Et c'est précisément là, où je ne me sentais tout simplement pas à ma place. Comme un léger décalage (si je vous disais que j'ai pensé aux manifestations de Nuremberg dans les années 1930, présidé par un certain Adolf, ça vous laisse deviner mon état).

De la première artiste, nous avons appris que «Montreal is the best city in the world», rien de moins. Avec ses danseurs et danseuses, elle m'a permis de comprendre que tout se jouait au niveau du bassin, ce que la foule appréciait. Bien que je confondais parfois l'artiste et les danseuses (nous étions juchés haut dans les gradins), je me suis tout de même réjoui de constater que tout ce beau monde avait de fort jolies cuisses. À travers la panoplie SM très BCBG (on a même eu la délicatesse de sortir le fouet à lanière), la chorégraphie mimait des copulations multiples ou de simples séances de masturbation, geste et déhanchement à l'appui. Gentil, en effet.

À en juger par le niveau sonore sur scène et dans la salle, le second artiste était également très populaire et il lui suffisait de répéter le mot magique («Montreal») pour déclencher des vagues de joie sans pareil. Pour le reste, une petite séance de gymnastique aura également eu l'heur de plaire à l'auditoire qui avait probablement, comme moi oublié de mettre les boules quies. L'ennui ici, c'est qu'on ne parvenait que difficilement à reconnaître les chansons pourtant très jouées à la radio. Donc, niveau musical, il est conseillé de se référer au disque ou aux ondes radiophonique (à moins bien entendu de pousser à fond le volume et de défoncer ses haut-parleurs pour atteindre le niveau de distorsion souhaité).

Trop sévère? Pas musical moi? Débranché? Voyons, pas plus tard qu'hier après-midi, je faisais l'éloge de Neil Sedaka, Perry Como et Tony Bennet...

Les artsites? Ah, oui, il s'agissait de Rihanna (je suis allé voir sur Internet ce que je n'ai pu voir hier soir, et en effet, elle est jolie) et de Akon, assez «Konvincted», merci, surtout torse nu. L'immense majorité de la salle (dont l'immense majorité était féminine, mais, en majorité, n'avait pas atteint leur majorité), la foule, donc, a beaucoup aimé ce spectacle si j'en juge par l'état de mes tympans ce matin.

Pour ma part, la radio m'aurait suffit (et le pop corn du Centre Bell n'est pas bon).

Après un week-end passé entre l'anniversaire de ma fille et la rencontre de nouveaux acheteurs, me voici en ce début de semaine en train de planifier mon temps pour faire en sorte que mes vies professionnelle et personnelles trouvent le meilleur équilibre possible. Aujourd'hui, je dois rappeller quatre contacts relativement à des propriétés à vendre; j'ai une liste de quatre propriétaires vendeurs que je dois également contacter en vue d'un rendez-vous. Il faut que je prenne des nouvelles de mon ami Michel. Et Pierre. Et Yuri qui doit rentrer de Grêce aujourd'hui. Et répondre à mes collègues du Collège de l'immobilier qui veulent organiser un repas retrouvaille le 16 octobre (c'est le jour de mon départ pour Paris, je crois bien — à vérifier). Planifier les repas de la semaine. Envoyer un démo à mon imprimeur pour ma publicité. Contacter le journal pour les tarifs publicitaires et les réservations. Commander mon bois de chauffage. Rappeler le plombier pour la chasse d'eau défectueuse. Acheter des stores pour mon bureau. Fouiller les nouvelles inscriptions pour mes acheteurs. Recontacter deux clients acheteurs, partis en vacances, mais aujourd'hui de retour. Envoyer des informations sur les nouvelles propriétés que le bureau vient de prendre à Rosemont pour Christian et Viviane qui envisagent peut-être de vendre leur maison. Et à travers tout cela continuer à travailler, c'est-à-dire, répondre aux imprévus.

Il est cinq heures du matin et j'entends les oies sauvages au-dessus de moi, dans le ciel encore noir de Montréal. Quand je pense au travail qui m'attend, je me dis que voici une belle source d'inspiration. La route est longue pour atteindre le Sud.
J'ai l'impression de réintégrer ce blogue comme un homme rentrerait chez lui aux petites heures du matin: sur la pointe des pieds et avec un certain sentiment de culpabilité. Oui, j'ai négligé mon écriture et c'est à l'image de cette dernière semaine où je n'ai trop su comment agencer l'espace privé et l'espace public, le personnel et le professionnel. Il en est ainsi et c'est comme ça qu'on apprend.

J'avais l'excuse, lundi, mardi et mercredi dernier, d'avoir été présent au Congrès annuel de La Capitale, qui avait lieu cette année à Québec. Je ne sais trop ce qu'il faut penser de ces congrès et je me bornerai à dire que je ne suis pas un homme de congrès. Pour l'essentiel, je crois que cela se résume à un exercice (voire une expansion) du système de réseautage (les «conatcts» si l'on préfère). J'ai compris que certains agents gagnent une bonne partie de leur salaire par ce biais. Je ne suis manifestement pas rendu là et j'ignore si je le serai un jour.


(«La solitude du congressiste au milieu du congrès». En prenant cette photo, j'ai pensé que ça ferait un bon titre de roman — à la Peter Handke)

La beauté pour moi, de ce Congrès, est qu'il se soit déroulé à Québec (j'aime beaucoup cette ville) et que j'ai pu fraterniser plus avant avec mes consœurs et confrères du bureau.



Il y a un charme indéniable au Vieux-Québec que l'on ne retrouve nulle part ailleurs en Amérique du Nord. Je le dis et le répète: j'aime beaucoup cette ville... où je ne n'irais pas vivre.


Le plaisir des ballades est de les faire en bonne compagnie; ici, j'étais avec mes collègues Marie-Josée Bisson, Nathalie Morin, Simon Dugal et Jean-Patrice Bourguet (qu'on ne voit qu'à moitié, mais qui était complètement présent).

Je m'en voudrais de ne pas mentionner la très émouvante conférence de Pierre Lavoie (entendu au premier jour du congrès), ce triathlonien champion du monde et porte-parole de la fondation pour la recherche contre la maladie appelée acidose-lactique. Deux de ses enfants en sont mort et à travers son témoignage, on comprenait que le deuil peut parfois trouver un sens, et que le courage et la détermination ne sont pas des qualités exclusives aux champions. Persévérance, discipline et resppect étaient les valeurs dont il aura parlé. On peut (et on devrait) les retrouver au cœur du travail d'un agent immobilier. Ce fut, en tous les cas, une source d'inspiration exceptionnelle.

Au-delà de la tragédie qui aura marqué son histoire, tout son témoignage résonnait comme un hymne à la vie. À la fin de la conférence, je crois que la moitié de la salle avait les yeux humides. Moi, il m'aura fallu le restant de la journée (sinon davantage) pour m'en remettre.

Une seule déception aura marquée ce séjour à Québec. Mon copain Yvon, qui lutte toujours contre la maladie, partait le jour de mon arrivée pour Sherbrooke. En voilà à qui on n'aura pas besoin d'inculquer les notions de persévérance, discipline et resppect. Si vous n'avez pas lu son livre, je m'empresse de vous en faire la recommandation la plus vive. Ça s'intitule, «Le guide du parfait survivant» (Editions Septentrion). Ça se lit avec la tête et le cœur et ça fait du bien à tout le corps.
Journée chargée que celle d'hier, au moins au niveau émotionnel, au point que je n'aurai rien écrit.

Tout a commencé par les célébrations des événements du 11 septembre 2001, qui ne cessent de me hanter. Outre l'horreur des morts et de la destruction, il y a par-delà le récit que les autorités (médiatiques autant que politiques) en ont fait, une telle montagne de questions restées sans réponses que je m'étonne encore de constater que règne un tel silence ou une telle résignation parmi le public un tant soit peu curieux. Je compte pour ma part travailler à dresser la liste de mes questionnements et les quelques pistes qui pourraient se dégager de cet amas de confusion et de désinformation, d'ici bientôt.

Pendant que la dernière transaction suit son cours, que le choix du notaire est arrêté et la date fixée (vendredi 28 septembre), la vie poursuit également son cours et c'est ainsi que je me suis trouvé chez le notaire à mon tour, pour la lecture des articles 392 à 396 du code civil renvoyant au mariage. Hé oui, ce qui n'était pas encore officiel le 11 août dernier, l'est devenu depuis hier, le 11 septembre.

Comme quoi, il n'y a pas que des catastrophes à se produire ce jour-là...
Samedi matin: je me rends chez mes acheteurs, Marie-Josée et Pierre-Emmanuel, pour prendre une promesse d'achat sur un quintuplex dans Hochelaga-Maisonneuve. C'est une transaction qui aura connu des hauts et des bas, des reviremnets et des négociations, mais pour l'heure, tout semble en place pour une entente imminente. L'offre sera donc ouverte jusqu'à lundi, midi (le vendeur est probablement en week-end).

j'ai donc passé la fin de semaine à attendre la réponse... en continuant à travailler et faire une évaluation sur une propriété (j'y reviendrai une autre fois), avec en tête, cette promesse d'achat qui flottait dans l'espace bien réel de... l'attente.

Nous voici donc arrivé au lundi matin. Sur la route pour me rendre au bureau, un message m'indique la réception d'un fax dont je prends connaissance à mon arrivée. Bonne nouvelle: l'offre est acceptée. Sourire et satisfaction.

J'irai faire signer les derniers papiers chez mes acheteurs dans quelques minutes. tout le monde est heureux et moi y compris.
Voici une invitation très officielle à aller voir les photos de mon ami Bruno sur son site. Ce sont, pour reprendre ses propres mots, «des images que je prends sur le Plateau. Ce ne sont pas des photos: juste des instantanés des plaisirs qui me sautent dessus pendant que je marche ou cours dans nos ruelles». Ces «instantanées», donc, sont autant de vues sur des ruelles ou des recoins insoupçonnés, et des moments d'art brut ou spontané (je ne sais pas comment on appelle le travail des «tagueurs»...).
Voici donc quelques unes de ces images... pour aller les voir toutes, cliquez ici...
L'adresse de son site est: http://www.flickr.com/photos/brub/sets/.






J'aime ces photos autant que l'idée qui préside au projet. Je retrouve l'esprit véritable de «l'instantané» et il me plait de voir immortaliser ces moments pour le moins éphémère du quotidien... Merci Bruno...
On dira ce qu'on voudra et on ironisera tant qu'on veut, mais une chose est sûre: ça bouge sur le Plateau. Snob? M'as-tu-vu? Bobo? Oui, il y a un peu de ça sur le Plateau, mais il y a aussi une qualité de vie, de service et d'environnement qui permet une vie de quartier extraordinaire, ne serait-ce que du point de vue culturel.

Seulement ce matin, dans mes courriels, je reçois quelques informations sur de nouvelles manifestations culturelles: Les Escales improbables de Montréal organisent diverses activités dont des volets acoustiques, visuels et littéraire au Divan Orange sur le boulevard Saint-Laurent; l'organisme Le collectif d'animation urbaine, L'Autre Montréal, organise une randonnée intitulée, Avenue du Mont-Royal: 100 ans de la vie urbaine, le 16 septmbre prochain. Et je ne vous parlerai pas des diverses programmations des salles de spectacles, ni des vernissages ou des prochains lancements qui s'organiseront sur le Plateau dans les prochains jours... je vous parlerai toutefois du Concours photo [Objectif: Plateau]l, qui vous offre la chance de gagner un voyage à la destination de votre choix d'une valeur de 2000$, en votant pour la photo de votre choix; c'est le prix du public offert par... La capitale du Mont-Royal (hé oui!).

Que demande le peuple? Du pain et des jeux? Voici de la culture sur un Plateau...
Bon, reprenons... Y'a pas que des moments terribles dans la vie et la sollicitation téléphonique ne devrait pas nous empêcher de voir les bons côtés du métier.

Vendredi matin, j’ai passé la matinée à changer des prises téléphoniques défectueuses dans la nouvelle maison de Marjorie et Jérémie qui déménageait ce jour-là. Les anciens propriétaires qui n’étaient dans la maison que depuis quelques mois n’avaient jamais utilisé les prises car ils employaient un système de téléphonie Internet. Et comme je n’ai jamais pensé à leur demander si les prises étaient fonctionnelles, on s’est retrouvé devant ce cas un peu inhabituel : aucune prise n’étaient fonctionnelles (trop de couches de peinture successives les avaient rendus inopérables). C’est avec l’aide d’un ami, technicien retraité de Bell, que je me suis présenté chez Marjorie et Jérémie ce matin-là. Non la garantie APEC ne couvrait pas ce problème, mais en revanche, il y avait la garantie Patrice. Deux personnes heureuses par une belle matinée ensoleillée en font trois.

Plus tard, je me suis enfui au Baskatong, à l'Auberge de la Gatineau où j’ai continué à goûter mon bonheur. Et au lendemain de la fête du travail, je suis prêt à travailler…
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Patrice Dansereau, courtier immobilier et écocourtier chez Via Capitale du Mont-Royal

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