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PATRICE DANSEREAU

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Voilà... 2009 s'achève, il faudra faire sans le neuf, tout en souhaitant du sang neuf en 2010. Soyez rassurés, je n'y irai pas de mon bilan de la décennie, mais je respecterai la tradition qui veut qu'on émette et échange nos souhaits pour la nouvelle année (pour ce qui est des résolutions, on verra plus tard).

À tous mes lecteurs, non-lecteurs et à moi-même, je souhaite donc... Quoi donc? N'ayant que peu d'imagination, je suis tout entier habité par mess dernières lectures; elles tiennent ce matin à deux mots: délivrance et renaissance.

À cette enseigne, je souhaite à tous ceux qui suivent les enseignements de leurs Dieux, quel qu'il soit et toujours unique dans sa multiplicité, de continuer à cheminer dans la voie tracée par Dieu... Je souhaite à tous ceux épris de justice, de continuer à livrer bataille et de ne jamais désespérer de la victoire quelles que soient les défaites ressenties... Je souhaite à tous les fervents adeptes de la cause environnementale de ne pas refroidir devant le réchauffement planétaire... Je souhaite à tous ceux qui recherchent l'énigmatique objet d'amour perdu, de retrouver le sujet de la quête... Je souhaite aux modestes pèlerins du bonheur, une récompense à la mesure de leur modestie... À tous ceux en quête de nourriture, d'un toit, d'un travail ou de la santé, de recevoir davantage encore... Je souhaite la beauté convulsive chantée par les poètes et le paradis dantesque aux assoiffés d'art et de «joie sadienne» exquisément délicate...

À tous, enfin, je souhaite la grâce, le courage et la douce folie donquichotesque de leur quête et désir. Délivrés du mal, je nous souhaite de renaître dans l'amour.
Amis et lecteurs de la Haute-Mauricie et du Bas-St-Laurent, je vous souhaite une merveilleuse journée. Aux autres aussi.
Je n'étais pas seul sur la dernière offre d'achat; six autres postulants se sont présentés avec moi. Résultat: la propriété s'est vendue très au-dessus du prix demandé et je suis (nous sommes, puisque je ne fais que parlé au nom des autres) arrivé... bon deuxième. Morale: il y a encore de l'espoir.

Entre temps, je me suis plongé dans ma bibliothèque et j'ai retrouvé sous la plume de Baudelaire, outre son éternelle contemporanéité, la raison qui me faisait douter de l'utilité de lire les journaux: et je cite*: Tout journal, de la première à la dernière ligne, n'est qu'un tissu d'horreurs (...) Tout en ce monde sue le crime...

Pour me consoler, j'ai entamé la lecture du livre de Haenel et Meyronnis, Prélude à la délivrance qui est un formidable chant d'espoir pour tout ceux souhaitant fuir l'esprit et l'état de catastrophe généralisé qui trop souvent parfume notre quotidien (même en s'abstenant de lire les journaux).

Dans un registre qui n'a rien à voir avec ce qui précède, sinon de lointaine façon et suivant les raccourcis et la logique qui me sont propres, j'ai retrouvé dans les premières pages du livre en question, cette citation de Kafka qui évoquait le réveil comme «le moment le plus risqué» (plusieurs de ces romans et nouvelles commencent d'ailleurs par une scène de réveil); c'est à travers cette image que je me suis remémoré mes années d'insomnies où mes journées commençaient parfois à 2 ou 3 heures du matin, heures où je pouvais me laisser aspirer par la fièvre de l'écriture.

Il y a un rapport à établir entre cette fièvre et la joie de résister à ce parfum de catastrophe que j'évoquais plus haut.

Voilà pour l'heure; le lecteur aura compris qu'en ce dimanche gris et humide, je suis toujours dans la luminosité des vacances et de la lecture... À tous mes lecteurs d'ici et de Haute-Savoie, je souhaite une très belle journée.

*Ayant compris que certain lecteur aime à savoir l'origine de mes citations, voici: Œuvres complètes I, La Pléiade, p. 706
À vous tous, frères et sœurs, amies et amis, lecteurs et lectrices, je vous souhaite un joyeux Noël et vous offre ce merveilleux cadeau que j'ai reçu ce matin, de ma fille Adrienne:

Papa,

Tu es toujours là
pour moi
quand j'ai besoin de toi.
Il n'y a pas d'autre mot
pour dire que tu es beau

Ton humour,
c'est pour toujours
ta bonne humeur
fais mon bonheur
et illumine mon cœur

Toute ma joie,
je la partage avec toi

Un papa
comme toi
on n'en voit pas
ça n'existe pas

Un papa
c'est quelqu'un que l'On voit
qu'on admire
qu'on aime
il est élégant

mais il nous aime plus que tout
et nous aussi on l'aime
et on ne l'Oubliera jamais car
il reste dans notre cœur

Papa, je t'aime plus que tout
xxxxxxxx- X 10000000000000
ta fille qui t'aime, Adrienne

p.s. Joyeux Noël


Et Joyeux Noël à vous. Paix, joie et bonheur, ici et maintenant et pour les siècles des siècles.

Le lecteur attentif aura remarqué que, dans ma colonne des «Essentiels» est réapparu, sous le titre «Intelligence et liberté», le site d'un écrivain que j'aime et fréquente depuis longtemps (J'avais 16 ans quand j'ai lu pour la première fois quelques ligne de Paradis), je parle de Philippe Sollers.

C'est peu de dire combien est grand le plaisir que j'ai à lire cet auteur qui ne cesse de me faire découvrir (ou redécouvrir) d'autres auteurs; les bons auteurs sont de bons lecteurs. Lautréamont, Céline, Barbey d'Aurevilly ou Confucius, Sollers ignore les genres et les âges et nous invite à voyager à travers le temps comme l'espace.

De son article sur Confucius, je vous offre cette petite citation qui fait mon bonheur: «Celui qui sait une chose ne vaut pas celui qui l'aime. Celui qui l'aime ne vaut pas celui qui en fait sa joie.»

Quand je vois autour de moi vieillir des proches, quand je les vois s'enfoncer dans la maladie, perdre leurs moyens, effacer les qualités qui les caractérisaient, je me console en entendant un petit rire ou en voyant leur sourire illuminer leur visage, et je me dis que s'ils ont la joie, ils n'ont pas tout perdu.

Sur ce, je m'en vais me reposer au sein de ma bibliothèque... et soigner mon rhume.
On croit que les vacances arrivent, que le travail se fera plus rare... et on se trompe. Depuis une semaine, mes journées n'ont cessé de se charger, mon horaire de se remplir... et je ne parle pas des fêtes, dîners, réceptions et autres festivités... Les acheteurs veulent acheter, les vendeurs, veulent vendre... quand ils ne partent pas en vacances, évidemment.

Malgré un calendrier un peu perturbé, j'ai lancé une offre d'achat sur deux duplex dans Ahuntsic... qui devra maintenant attendre le retour des vendeurs. Et ce matin, je m'apprête à prendre une nouvelle offre d'achat pour un petit duplex sur le Plateau... Des vacances? Disons que ça se fête... dans le travail. Et on ne se plaindra pas.
Pour mes enfants, ce soir marque le début des vacances du temps des Fêtes (pour moi, pas encore, mais c'est un peu dans l'air).

Pour cela et pour la gratuité, je vous offre ces deux citations; la première, parce que le malentendu est souvent un problème de sémantique; Fermer les maisons closes, c’est plus qu’un crime, c’est un pléonasme. (Arletty) Restons ouverts, donc...

La seconde citation parle du bonheur, celui que je souhaite à tout le monde, en espérant qu'il soit dans leur maison (ce qui «demeure» l'objet de mon travail): Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d’attente (Jules Renard).

Bon week-end




Récemment, comme je parlais de malentendu, et notamment de ce malentendu qui souvent tient lieu de communication amoureuse, mon frère m'a (gentiment) reproché de tout mélanger, de présenter le vrai pour le faux et vice versa. Le hasard a voulu qu'on me présente ce petit extrait qui illustre bien comment la communication ne rejoint pas toujours nos objectifs. Voici le texte:

Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que que vous croyez comprendre, ce que vous voulez comprendre et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 possibilités de ne pas s'entendre...

Je dirais que le malentendu traduit souvent le désir de rejoindre l'autre... mais le désir reste souvent vivant dans la mesure de son échec.

À défaut de rire, difficile de ne pas sourire en parcourant l'actualité...

Un premier ministre se fait assaillir et perd quelques dents au moment où son nom est mis en lien avec le crime organisé. Son parti déclare: L'amour triomphe toujours;

des députés du gouvernement se font porter pâles au moment où ils sont invités à examiner de difficiles questions relevant de la Convention de Genève; ils reprochent à l'opposition de les torturer inutilement sur ces mêmes questions;

on apprend que le plus grand virologiste mondial (Albert Osterhaus), conseiller officiel sur le virus H1N1 des gouvernements britannique et néerlandais siégeait à la fois parmi l’élite de l’OMS et présidait un centre d'étude (ESWI), parrainé par l’industrie pharmaceutique. Il est sain que la science veille à la santé du capitalisme.

Si le vaccin est bon pour la santé des compagnies pharmaceutiques (entre 7,5 et 10 milliards de dollars selon la banque JP Morgan), et puisque la pandémie serait selon le Washington Post, parmi les plus bénignes depuis que la médecine moderne documente les épidémies de grippes, on peut donc dire que le Capital est bon pour la santé (ou, la santé, c'est payant).

En conclusion: pour reprendre cette citation offerte par Marois («Vieillir est la meilleure façon que j'aie trouvé pour ne pas mourir jeune»), je dirais: «Sourire est la meilleure façon que j'aie trouvé pour ne pas souffrir».

Bonne journée et bonne santé à tous.
Lu le dernier papier d'André Marois rédigé pour Infopresse... hilarant! (C'est sur la première arborescence, mais si vous voulez, vous pouvez aussi cliquer ici).

Je ne le dis pas assez, mais j'ai de la chance d'être entouré de tous ces amis admirables, intelligents, drôles, généreux et toutes autres qualités magnifiques sans restriction aucune. Bien entendu, ils se reconnaîtront tous sans que j'aie besoin de les nommer...
Oh! Lent demain...

C'est confirmé: les traditions se perdent; au party de bureau, il n'y a pas eu de scandales. Aucune dispute, pas de bagarre, aucun strip-tease. Fait rare sinon exceptionnel: la bouffe était excellente (merci au Petit extra) tout comme le vin, la musique fort agréable, l'ambiance réellement festive, les sourires francs, les poignées de mains et les embrassades tout autant (et insouciantes des virus)... bref, ce fut une très belle soirée... Et moi qui ne boit jamais, j'ai bu un verre... de trop.

Les traditions se perdent... mais pas complètement.
Assisté, hier soir, au spectacle de Monsieur 100,000 volts en personne: Gregory Charles. J'en suis encore tout électrifié... J'étais heureux d'y être en compagnie de mes filles, qui, malgré un répertoire pas toujours très familier, ont beaucoup apprécié...

Ce soir, dans quelques heures à peine, c'est notre «party de bureau»... Je vous entretiendrai des traditions qui se perdent ou qui se perpétuent...

Je vous écris ces quelques mots tandis que mon fils prépare le dernier examen de sa session de Cegep. Je ne me souviens pas l'avoir vu étudier aussi longtemps (déjà presque trois heures).

Nostalgie, nostalgie, devant les flocons qui tombent en même temps que le jour...
[pour faire suite au dernier billet] Le sourire, ça s'accroche facilement; par exemple, en lisant ce matin ce petit courriel résolument sympathique, suite au passage chez le notaire pour conclure une transaction depuis longtemps amorcée: «On est vraiment content de t'avoir embarqué dans le projet. Cela a fait toute la différence pour nous.»

Il n'en faut pas plus pour me faire sourire de plaisir. J'adore naviguer dans ces eaux-là...
On a beau dire: c'est beau. C'est beau la neige. C'est même indispensable en décembre. Il y a, depuis hier (première chute importante de neige), un air de fête tellement réjouissant, que je me sens retrouver cette époque insouciante de mon enfance.

J'entends souffler le vent depuis la fenêtre de mon bureau. Je goûte le bonheur d'être au chaud. Je voudrais que ce sourire qui se pose sur mon visage, jamais ne s'efface. En attendant, je le grave dans les mots.

L’homme construit des maisons parce qu’il est vivant, mais il écrit des livres parce qu’il se sait mortel.

Daniel Pennac
Extrait de Comme un roman

Oui, de retour après cette pause jamaïcaine... Une température de toute beauté... des lectures agréables (mais en nombre insuffisant, puisque j'ai fait quelques choix malheureux); de ces lectures, j'ai beaucoup apprécié le petit livre de Alan Bennett, La Reine des lectrices (Denoël), formidable apologie de la lecture, d'où je suis ressorti avec un sourire nostalgique et apaisant. Quelques belles idées, comme ce désir que la lecture apporte de l'anonymat ou encore la faculté de développer la sensibilité; ou cette phrase, cette fois, sur l'écriture, qui dit: «On n'écrit pas pour rapporter sa vie dans ses livres, mais pour la découvrir.»

Pour ce qui est de la Jamaïque, je n'y retournerai pas, du moins, pas dans les mêmes conditions. Cela dit, mon séjour fut merveilleux.
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Patrice Dansereau, courtier immobilier et écocourtier chez Via Capitale du Mont-Royal

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