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PATRICE DANSEREAU

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Home Archive for June 2007
Début du long week-end du 1er juillet... un avant-goût des vacances. Dans quelques heures à peine je roulerai en direction du Baskatong (au nord de Mont-Laurier): vers la paix, loin de tout et près des rivages sablonneux. Je prends ma canne à pêche en doutant de son utilité, je fouille dans ma bibliothèque en quête de deux ou trois livres dont je ne doute pas de l'utilité et... à moi le bonheur!

De retour lundi soir, avec quelques photos souvenirs (pour vous mettre l'eau à la bouche)...
À quoi ai-je employé l’essentiel de mon temps des derniers jours rue Beaubien? À l’exception des plantes et des cadres posés dans mon bureau, je dirais : me plonger le nez dans l’ordinateur à scruter les propriétés à vendre ou déjà vendues; les premières (à vendre) pour les besoins de Marjorie et Jérémie, désireux d’acheter un condo sur le Plateau ou pas trop loin; les secondes (vendues), pour analyser le marché et procéder à une évaluation d’une superbe propriété à Rosemont. J’ai, depuis, la tête pleine de propriété plus ou moins virtuelles. J’ai la chance d’en avoir visité quelques unes déjà, et d’en visiter de nouvelles encore dès demain soir. Et concernant la maison de Rosemont, après en avoir discuté avec Marie-France, je suis persuadé d’avoir réalisé une juste estimation de sa valeur… ce qui est vraiment agréable.

Mes yeux (et la mémoire des lieux ou des photos) deviennent ma nouvelle banque de données. Ce qui est la base. Et il me plait de voir dans ces «données», le mot «don». C’est ce qui m’est donné, sous quelques forme que ce soit, que je pourrai donner à mon tour. Si je peux enrichir mon savoir, je pourrai en faire profiter les autres. C’est cet échange qui me semble au cœur de mon travail.

C’est ainsi que le métier rentre (et je sais que ce n’est qu’un début), que la vie passe et que nous nous réjouissons du beau temps.



(Pour ceux qui ne le savent pas : notre bureau de la rue Beaubien est le premier édifice commercial au Québec à accueillir un mur végétal intérieur. Voici donc comment je suis accueilli, tous les matins, en entrant à la réception).
Voici, avec un peu de retard (un petit décallage vers les Maritimes), quelques photos de la journée au parc Molson, grâcieuseté de mon collègue, Daniel Larocque (qui a un peu la carrure d'un Daniel Bélanger, mais je ne connais pas encore ses talents de chanteurs).

À regarder les jours de pluie ou de grisaille...





Samedi, nous étions au parc Molson, juste derrière le bureau, pour la fête de la Saint-Jean. Les agents se sont relayés pour distribuer ballons et jouets aux enfants durant toute la journée. L’événement fut réellement enthousiasmant. Outre une douleur tenace au pouce droit (en tout, nous avons gonflé, noué, attaché et distribué plus de 2000 ballons!), je retiens ces milliers de sourires sous un splendide soleil, des mines réjouies et la simplicité de la gratuité (et vice versa). La chance, encore elle, m’aura fait croiser un homme qui pense vendre sa propriété. Comme il partait pour le long congé, je dois l’appeler ce soir pour prendre un rendez-vous.


Laurent m’a livré mes premières cartes d’affaires afin que je teste le concept, pour le moins original… c’est ce que je ferai au cours des prochains jours. D’ici je cours rencontrer un couple d’acheteurs qui désire acheter un condo dans le Plateau ou autour. L’idée de m’asseoir avec des gens que je ne connais pas et d’échanger ensemble sur leurs goûts, leurs rêves et leurs désirs me fait terriblement plaisir. Participer à cette quête d’une nouvelle maison, correspond exactement avec l’idée que je me fais de mon nouveau métier. Mon père me dirait sûrement que c’est dans la quête du sens que l’on retrouve l’essentiel de notre humanité. Pourquoi pas…

En attendant, comme je n’ai pas pensé à prendre des photos de la fête de samedi au parc Molson, je vous laisse avec les photos de ma promenade d’hier, à vélo, dans les rues du Vieux-Montréal.



Si on lit le titre de cette chronique avec rapidité, on devrait comprendre comment je me sens : une poule sans tête. Je tente de m’installer pour pouvoir travailler avec les bons outils. Dans l’immédiat, ça veut dire harmoniser mon ordinateur (un Mac, pour ne pas faire comme tout le monde) avec le réseau immobilier qui fonctionne sur les PC, on s’en doute. Ce qui n’est pas le plus simple, mais ce n’est pas encore le plus compliqué. Là où je me sens plus étourdi, c’est devant l’abondance des codes qui me permettront de me brancher avec le réseau dit «Intranet» de La Capitale (nom d’utilisateur + mot de passe); ou encore, avec le réseau de la Chambre immobilière du Grand Montréal, essentiel pour avoir accès aux propriétés inscrites, vendues ou expirées (nouveau nom d’utilisateur + nouveau mot de passe); il ne faut pas oublier qu’il me faut également un mot de passe pour avoir accès à la photocopieuse (qui imprime, faxe, et envoie des courriels en plus de «numériser».

Ne pas oublier non plus mon nouveau mot de passe pour la boîte vocale de mon nouveau cellulaire. En plus de celui de mon ordinateur, de mes cartes bancaires (la Banque Nationale fonctionne avec un mélange de chiffres et de lettres, tout comme la Caisse pop, mais à l’inverse); ne pas oublier celui de mon téléphone personnel et quoi encore? Je suis persuadé que j’en oublie (le numéro de membre du club de tennis, le numéro du cadenas, les numéros de téléphone des amis et les codes des portes d’entrée de certains immeubles). Bref, il y aura toujours un autre code, code, code, et un neuf… en plus des anciens…

Allez, tous au poulailler et rappelons-nous qu’on ne fait pas d’omelettes sans casser d’œufs.

Cela dit tout ça ne serait rien s’il ne fallait apprivoiser mon nouveau téléphone cellulaire, le Samsung 900. Il peut tout faire : prendre des photos, faire des vidéos, intégrer des logiciels, jouer à toutes sortes de jeux, envoyer des mails et naviguer dans le cyberespace… mais j’ignore comment. Pour l’heure, je peux parler et écouter; je suis même parvenu à enregistrer un message personnel dans ma boîte vocale. Le problème c’est que je ne peux pas écouter les messages qui y sont. Après trois mois de cours intensifs, il paraît que l’on parvient à apprivoiser la bête.

Que c’est beau le progrès!

Quand j’étais au collège de l’immobilier (trois semaines à peine et ça me semble déjà si loin), je disais souvent à mes amis qui ne manquaient de s’étonner de ma nouvelle conversion que j’avais beaucoup de plaisir à étudier. «C’est comme apprendre une langue étrangère», avais-je l’habitude de dire. Appelons-la, cette langue, «l’agentimmobili».

Ce que je comprends aujourd’hui, c’est que si cette langue existe, il y a autant de façon de la parler que de gens qui la parlent. Les bases s’apprennent au collège et les multiples formations offertes par le franchiseur tentent d’en affiner l’enseignement. C’est ainsi que lors de l’une de ces formations, j’ai reçu un petit lexique qui n’a pas manqué de m’amuser. Avant d’aller plus loin, je m’empresse de dire que l’intention n’était pas mauvaise : attirer l’attention sur le langage employé et faire comprendre que les mots ne sont pas neutres. Mais dans la pratique, ce genre de lexique ouvre la voie à toutes les hypocrisies politiquement correctes. En voici quelques exemples: ne pas parler du prix, mais de l’investissement; on n’achète pas, on acquiert ou on possède une propriété; l’agent ne fait pas de sollicitation, mais de la prospection; on ne cherche pas à vendre une maison, mais plutôt à trouver un acheteur pour la maison. Et ainsi de suite jusqu’à provoquer un grand sourire sarcastique ou un bâillement d’ennui.

La morale de cette histoire? Quand on parle une langue, elle ne doit jamais nous être étrangère. Ma directrice, Marie-France, dirait sûrement que la seule façon de parler «l’agentimmobili», c’est avec le cœur.
Et bien voilà. Avec Éliane, nous avons présenté notre P.A., tout en douceur. Chez le propriétaire, à Boucherville sur une petite rue résidentielle très tranquille. Après une brève présentation d'Éliane, nous nous sommes retirés pendant quelques minutes pour revenir ensuite discuter avec le propriétaire et son agent, François. Tout sourire, nous avons appris que l'offre était acceptée.

Et bien voilà.

La chance du débutant? Le professionnalisme d'Éliane? l'état de grâce ou l'alignement des planètes? j'imagine qu'il est difficile de comprendre le pourquoi d'une telle harmonie quand parfois on rencontre d'âpres négociations. Je ne peux m'empêcher de faire un parallèle avec le monde de l'édition où l'on avait l'habitude de dire, malgré toute l'expérience des intervenants, qu'il était impossible de prévoir le succès d'un titre. Il y a une magie de la réussite qui relève souvent du mystère. En immobilier comme en édition.

Quel délicieux début.
Voilà. Une première Promese d'Achat remplie, grâce à la complicité d'Éliane qui m'a généreusement fait participer à la quête de nos acheteurs (qui se trouvent être des amis). Une P.A. en main, donc, mais toujours pas de confirmation pour aller la présenter à notre vendeur. Première conclusion: ce dernier n'est pas trop pressé... toujours à suivre, donc...
En atendant je ferai ma journée de formation donnée par le franchiseur, à Laval, le téléphone pas trop loin...


Oui, une porte s’est ouverte sur ce qui est maintenant ma nouvelle carrière.

C’est la grande annonce, c’est l’annonce officielle. Celle que j’ai reçue de l’Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ dorénavant) et celle que j’ai fait moi-même via mes contacts courriels. Pendant que l’ACAIQ me félicitait de ma réussite, elle me prévenait «toutefois [que] vous ne pouvez effectuer d’opérations de courtage visées à l’article 1 de la Loi sur le courtage immobilier (L.R.Q.,c.C-73.1) et ce, jusqu’à la réception ou la délivrance de votre certificat d’agent immobilier.» Le style et la formulation indique bien à qui on a affaire.

Il en va tout autrement des amis qui se sont empressés de me répondre et me féliciter. Hélène, ma première éditrice m’écrit : « Il n’y aura jamais plus personne dans mon entourage qui aura le droit d’acheter une maison sans passer par toi! » Je n’en demandais pas tant, mais j’apprécie (d’autant plus que les éditeurs et les agents immobiliers ne sont pas loin de partager quelques doléances communes au chapitre des mal-aimés).

Je ne pourrais tous les nommer et encore moins les citer tant ils se sont surpassés à décrire des qualités que je ne pourrais nommer sans rougir. J’ai été particulièrement touché par ce courriel d’Annik, trop brièvement croisé dans le dédale de mon incursion dans les milieux cinématographiques. Sans trop me connaître, elle voit dans mon passage au monde de l’immobilier, «le prolongement naturel de mes talents». Du coup, je rougis franchement.

Je ne résiste pas au plaisir de citer mon copain Antoine, qui vit depuis quelques années en France et qui commente mon «changement» en ces termes : «Voila une nouvelle illustration de la rupture chère à Sarkozy!» Considérez, ami lecteur, qu’Antoine est un pince-sans-rire qui connaît tout ce qui me désunit à celui qui incarne à mes yeux les nouveaux malheurs de la France.

Pour en revenir à l’ACAIQ, je me tourne respectueusement vers ses nobles représentants pour leur dire que, fort de mon certificat reçu hier, je remplirai, demain, ma première promesse d’achat (une P.A. dans le jargon du métier); un quintuplex dans Hochelaga-Maisonneuve. À suivre…

Le jour J... c'était hier, mercredi 6 juin. je suis parti de chez moi un peu après 8 heures et au moment de traverser le pont pour me rendre aux bureaux de l'ACAIQ en prévision de l'Examen (la majuscule s'impose), j'avais beaucoup de papillons qui s'agitaient dans ma Ford intérieure (pour parler comme notre ami Jean Dion). Le jour J c'était hier, donc, mais c'est aussi aujourd'hui car il aura fallu attendre cet après-midi pour connaître le résultat. Ai-je résussi? Oui ou non?

Je vous laisse deviner le résultat (un indice: le verre qui apparaît à côté de mon ordinateur ne noie aucun chagrin, tout au contraire, mais représente la joie et l'allégresse).


L’autre jour : exercice de simulation d’examen, au collège de l’immobilier. L’idée est excellente : nous préparer au type d’examen et de questions que nous allons devoir affronter à l’ACAIQ. Sitôt l’examen terminé (une cinquantaine de questions couvrant nos cinq matières), nous procédons à la correction. Double déception : non seulement ma note a été inférieure à ma moyenne générale (ce qui n’a rien d’épouvantable, considérant que je n’avais pas vraiment révisé), mais j’ai compris que cet examen n’avait pas pour but de contrôler nos connaissances, mais plutôt de poser des pièges avec des questions tordues. En soi, ce n’est pas cela le plus enrageant; là où je sens souffler comme un vent d’imbécillité, c’est en constatant qu’une bonne partie des questions est rédigée dans une apparence de français. En d’autres termes, des questions écrites dans une langue qui tient beaucoup de l’apparence, mais peu du français.

Cette dernière remarque me renvoie à cette anecdote que m’a confiée un courtier : des nouveaux arrivants d’origine asiatique sont parvenus à obtenir de très bons résultats à l’examen de l’ACAIQ malgré qu’ils ne parlaient pratiquement ni le français ni l’anglais : toutes les questions étaient apprises par cœur.

Si je ne savais pas comment occuper mon prochain week-end, j’ai ma réponse…
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Patrice Dansereau, courtier immobilier et écocourtier chez Via Capitale du Mont-Royal

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