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PATRICE DANSEREAU

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Home Archive for December 2011
... Je n'ai, en réalité, pas trouvé la dernière note que je voulais «postée» aujourd'hui, jour de la Saint-Sylvestre, le dernier jour avant le début de la dernière année du calendrier maya que d'aucuns voient comme la dernière année tout court... Je n'ai pas l'art de dresser des listes, ni des bilans; je réalise aujourd'hui que je lis souvent les mêmes auteurs que je lisais il y a dix ou trente ans...

Je pourrais quand même vous dire tout le bien que je pense et le plaisir que j'ai eu à la lecture du livre de Véronique Bruez, La Terrasse des Paresseux (Éditions Léo Scheer). Ces «carnets marocains» écrit à partir de 2004, racontent, entre autre chose, sa découverte du Maroc et, par bien des aspects, m'ont permis de me remémorer mon propre séjour là-bas, en 1981, ou en l'an 1401 de l'Hégire (pour faire un clin d'œil à Louis Gauthier et à son très beau «journal» dont j'ai déjà dit (trop) brièvement tout le bien que j'en pensais)...

Je m'en veux de ne pas avoir annoté ma lecture comme je le fais parfois... mais je comprends maintenant que les extraits auraient été trop nombreux... Je cite quand même ce morceau qui ne rend pas justice au sentiment général que l'auteur porte aux Marocains, mais qui traduit ce que j'ai moi-même ressenti à l'époque: Nous sommes toujours considérés d'abord comme des objets sexuels [c'est une femme qui écrit], puis accessoirement comme des portefeuilles ambulants, enfin, parfois, comme des êtres humains. Nous sommes d'abord un type (la femme européenne) et ensuite une personne. Pour nous il me semble que les gens que nous rencontrons sont d'abord des individus, puis un générique. La dépersonnalisation et le contraire. (p.240)

J'aime le style et l'esprit de cet auteur, ces écarts, coq à l'âne et digressions où le trivial côtoie la véritable intelligence et où la superficialité a toute la profondeur de la peau («la peau est ce qu'il y a de plus profond» pour parler comme Valéry). Merci donc à Véronique Bruez ...et à son éditeur, qui m'auront permis de finir l'année en beauté et en douce nostalgie.

Je m'en voudrais de terminer l'année sur une mauvaise note, mais je livre quand même quelques réflexions inspirées par l'actualité. Demain, je tenterai de me reprendre en faisant oublier ce qui suit...

***

Jadis, le colonialisme occidental prétendait apporter la «civilisation», aujourd’hui, c’est la «démocratie»; dans tous les cas, on mène les mêmes guerres, on occupe par la même force et on applique partout la loi du plus fort. Le «bien» triomphe toujours du «mal». La beauté, aujourd’hui, c’est qu’aucun discours d’opposition ne peut se faire entendre, s’il déroge du «bien». Qui, en effet, ne désire faire triompher le bien? Au-delà du colonialisme ou de l’impérialisme classique, on est donc parvenu à un parfait contrôle des consciences. L’idéologie (et le pouvoir des illusions — ici, la «démocratie»), comme arme de destruction massive.

***

Actualités. Pourquoi aura-t-il fallu que je brise (depuis quelques jours) cette promesse que je m’étais faite de ne plus lire les journaux? Dans cet embrouillamini qui tient lieu d’information, je ne lis que mensonge, manipulation et désinformation… Quand il est question d’actualité étrangère (au Proche-Orient, notamment), le quidam en perd son latin et renonce de lui-même à interroger la réalité (on ne saurait le blâmer car chacun cherche son chat et il est difficile à retrouver quand on nous présente ceux-là censés être nos ennemis comme nos alliés — quand le gentil minet est aussi un vilain matou, que comprendre, en effet*).

En renonçant ainsi à comprendre, on peut encore s’indigner sans avoir à réfléchir, pour reprendre les mots de Cyrulnik.

* sous-titre pour les malentendants : je parle du mouvement islamiste, qu’il s’appelle Al-qaïda ou les Frères Musulmans…

Petite provision de lecture pour le temps des Fêtes.. Des six livres choisis, je constate que cinq d'entre eux proviennent des Éditions Léo Sheer. Sans connaître l'entièreté de leur catalogue, je suis en mesure de dire que cet éditeur me semble faire preuve d'une étonnante constance dans la recherche de la qualité et de l'originalité, loin des idées reçues et des modes actuelles. De plus en plus rare...

Outre des auteurs connus et aimés (Matzneff, Les Émiles de Gab la Rafale et Jean-Luc Hennig, Dassoucy & les garçons), j'ai pris au hasard des auteurs inconnus ou presque, mais qui ont, par la quatrième de couverture, suscités ma curiosité: Véronique Bruez, Sibylle Grimbert, Julie Oyono et Serge Safran — ce dernier, lu il y a quelques années à travers son essai, L'amour gourmand, Libertinage gastronomique au XVIIIe siècle.

Qu'en est-il de ces dernières remarques? Rien que pour informer le lecteur de mon plaisir de rentrer dans mes loisirs préférés: du temps pour lire et ne rien faire d'autre (ce qui fait au moins deux choses à faire).
Il n'y a pas trente-six façons de le dire ou peut-être 6 000*: en un mot comme en deux (mais avec une journée de retard),

JOYEUX NOËL!



* Selon Wikipedia, il y aurait près de 6000 langues parlées dans le monde.
On aura donc travaillé fort pour avoir un (peu de) blanc à Noël. Timide, la neige a quand même fait son apparition (pas besoin d'y croire pour la voir).

Ma semaine de travail (qui n'a rien à voir avec l'apparition de la neige) aura donc été bien remplie; surprenamment chargée, même, pour une période en immobilier que l'on dit généralement calme. Deux promesses d'achat reçues et acceptées... Le père Noël a été généreux...

Je finirai donc cette année comme elle s'est déroulée: dans la joie et le bonheur.

Une question demeure: pourquoi en cette veille de Noël, je me sens déjà comme le lendemain de la veille?

Les cadeaux s'amoncellent sous l'arbre...


... et les lutins continuent de travailler fort pour emballer d'autres cadeaux.

Dans la nuit de samedi à dimanche, il y a eu au moins deux personnes qui sont mortes d'une crise cardiaque. Une en Corée du Nord, l'autre, à Saint-Hippolythe (Québec). Si la première a fait les manchettes du monde entier, c'est la seconde qui a secoué mon petit monde... Notre collègue et ami, Ovina Orth est décédé brutalement et soudainement (car, oui, la soudaineté a été brutale) aux petites heures de la nuit.

Ovina, depuis plus de trente ans dans l'immobilier, a été l'un des premiers collègues de ma femme, Nathalie. Costaud, voire imposant, ce grand gaillard était la douceur incarnée. Je l'avais un jour baptisé «gros nounours», et Claire, sa femme, avait acquiescé. Pour moi, c'est encore ce qui le décrit le mieux: Une grande masse de réconfort, toujours souriant, avenant et réconfortant dans son calme et son écoute.

Mes sympathies vont à Claire, sa femme, ses nombreux amis et collègues. Le poker est en deuil, et nos jeudis soir ne seront plus les mêmes. Salut l'ami.
Une fois n'est pas coutume, et loin de moi l'idée de faire des réclames publicitaires (autres que pour moi), mais je ne peux m'empêcher de citer des extraits de la lettre (destinée, si j'ai bien compris, aux collègues marchands de l'Avenue du Mont-Royal) du propriétaire de l'Intermarché Boyer, Frank Hénot, qui voulait donner sa réponse quand on lui a demandé pourquoi ses poinsettias étaient 3$ de plus cher que dans une grande surface que l'on reconnaîtra à son anti-syndicalisme notoire...

Voici donc quelques extraits de sa lettre:

Nos poinsettias sont, contrairement à bien d’autres, 100% Québec, cultivés avec soin par monsieur Grouver de Sainte-Dorothée. Ils n’ont pas poussé à Mississauga, Ontario, n’ont pas fait non plus 7 heures de route avant d’arriver en magasin. De plus, j’en achète 50 à la fois, pas 500 000.

(...)

Lorsque l’on achète du saumon de Monsieur Émile de Percé, c’est Cathie qu’on encourage en mangeant un saumon pêché dans la Baie de Fundy et fumé dans la même semaine. Il faut savoir que 60% des saumons transformés sont chiliens et fumés plusieurs semaines après leur pêche.

Lorsque l’on achète un foie gras «Made in France», on encourage un Dupont ou un Durant mais pas Ghislain et les 8 employés des «Cochonnailles champenoises», société établie sur la Rive-Sud. C’est sans parler du fait que le foie gras français a passé 17 jours dans un conteneur réfrigéré, plutôt que 45 minutes sur le pont Jacques-Cartier.

(...)

Je n’ai rien contre l’importation, il y a des choses uniques à plusieurs régions du globe que je me fais un plaisir de vous proposer. Par contre, si nous pouvons vous offrir des produits locaux de qualité égale, voire supérieure, selon la saison, ce sont eux que nous privilégierons sur nos tablettes.

Je ne vous parle pas de gaz à effet de serre ou de crédit de carbone, mais de Tremblay, Bouchard et autres…

Je ne souhaite pas en faire une croisade, mais je crois qu'il est bon de diffuser cette idée... En ce qui me concerne (et ce n'est pas du chauvinisme), je constate en effet que bien souvent, les produits locaux s'avèrent supérieurs à des produits importés; fromages, foie gras, saumon... bref, beaucoup de produits qui risquent de se retrouver sur ma table durant le temps des Fêtes... que je vous souhaite joyeuses!

Pourquoi, me demande-t-on parfois dans le très abondant courrier des lecteurs qui forme une montagne presque sacrée si tant est qu'on puisse en dire que c'est une sacrée montagne, pourquoi, donc, fais-je souvent l'éloge d'un écrivain qui n'a rien de remarquable sinon qu'il publie beaucoup... j'ai nommé Patrick Besson. Pourquoi? Pour ces petits billets (et de façon générale, pour ces œuvres mineures, comme on appelle un recueil d'articles, de nouvelles ou d'autres formes inclassables), ces petits billets, dis-je et continue-je (et si je ne cesse ainsi de faire des digressions, apartés et autres circonlocutions qui n'en finissent plus, je ne finirai plus...) ce petits billets, donc, sont une joie...

Je vous en donne un petit extrait, lu ce matin, concernant ses accents préférés (hélas, non, il ne parle pas de l'accent québécois...):

L'accent thaï. La voix se love autour du mot. Les syllabes s'allongent comme des jambes. Il y a un chant d'oiseau à chaque fin de phrase, c'est celui qui accompagne le sourire. L'accent thaï est posé sur les syllabes comme un air de musique traditionnelle, ces airs sur lesquels on danse avec les mains. On s'endort volontiers à côté de lui, surtout après la cinquième bière Singha. Il y a des cigales dans ce crépitement adorable de sons, bien qu'il ne soit pas l'accent provençal. Les Thaïs ne disent pas kopkoun klap(ou kaa, quand ce sont des filles) mais kopkouououour klaaap(ou kaaaa). On a l'impression qu'ils s'allongent sur leurs phrases pour y faire une sieste bien méritée, vu la chaleur. Et l'humidité. Et la soirée de la veille.

Charmant, non? Précis, clair, évocateur, chantant, vrai, gratuit et inutile... comme la vraie littérature.
La tradition continue... sapin de Noël et maison en pain d'épices... Le plus beau de cette histoire, c'est que cette année, ce fut l'affaire des enfants... ils ont pris à leur charge l'un et l'autre (sapin et maison) et je ne serais pas surpris que le père Noël glisse quelques cadeaux sous l'arbre pour les parents...



Passage hier chez le notaire pour la vente de l'appartement de la rue Bernard, juste avant de passer demain, chez un autre notaire, pour la vente du triplex de la rue Messier. Voilà (le passage devant notaire) ce que l'on aimerait bien qui devienne une tradition du temps des Fêtes...

La belle surprise du jour: l'arrivée impromptu de ma nièce et de mon neveu, Madeleine et Patrick (et leur ami Markus) de Californie... Certains recherchent le soleil, d'autres pas...
Hasard des rencontres, de l'actualité et des films vus... Après avoir appris le suicide d'un camarade de classe, Michel, que j'avais revu cet été avec plaisir, j'ai visionné hier soir deux films différents, mais qui se répondent en quelque sorte... L'Intouchable de Benoit Jacquot et The Tree of Life de Terrence Malick. Je ne résumerai rien, mais constate que dans les deux cas, la quête du père, des origines et l'intemporalité de cette quête se répondent étonnamment. Si le dépouillement de Jacquot tranche radicalement avec la grandiloquence de Malick, nul doute que les deux possèdent une même sensibilité qui nous permet de toucher l'essentiel. J'ai beaucoup aimé chez Malick, sa façon d'associer l'enfance avec la genèse du monde, de montrer à travers les petits détails du quotidien, notre relation au bien et au mal, au désir et à la haine, à la beauté, surtout, et à sa révélation.

Quel monde a quitté Michel? Quelle quête a-t-il interrompu? Quel monde a-t-il rejoint? Quelle douleur a-t-il interrompu? Je ne peux répondre à aucune de ces questions et elles me laissent toutes silencieux.

Il ne me reste plus qu'à trouver beau, le silence.
La beauté de ce blog, ce sont les surprises qu'il apporte, parfois sous la forme de commentaires reçus, souvent à travers une correspondance, directe ou indirecte qu'il génère et qui demeure confidentielle. Cette correspondance ramène parfois de vieilles connaissances ou au contraire, de nouvelles rencontres... Dans tous les cas, que ce soit en recevant des éloges ou des critiques, je ne cesse de m'étonner en découvrant combien les mots agitent encore et toujours les êtres... et de comprendre que ces mots recouvrent surtout des émotions et des sentiments qui composent l'essentiel de nos vies.

À mes amis et connaissances à qui je n'ai pas toujours le temps de parler, d'échanger ou de partager ce qui nous unit, à tous ceux-là qui me lisent pourtant, je voudrais dire que même dans le silence, je pense à eux...
Le voyage en image, pêle-mêle et avec l'arbitraire du hasard, pour le plaisir des yeux, du cœur et de l'imagination...

Comme le veut la sagesse populaire, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas..


Le marché... profusion et confusion, abondance et variété...

Les abords du marché: la même abondance, la même variété et encore, la même profusion et confusion


Mur et enseigne... je pense à mon amie Lyne et à son travail de graphiste (et un petit bisou en passant)
Voici quelques images de mon dernier séjour au Nicaragua, en vrac, sans vrai souci de narration ou de chronologie, sans grand commentaire que le plaisir de partager avec vous quelques «instantanées»...

Granada est une ville coloniale d'une grande beauté... façades de couleur et douce anarchie...


Mon heure de prédilection: la fin du jour sous la chaude lumière du Pacifique... L'heure exquise pour l'apéro et le plaisir des sens...

Un quotidien et un emploi du temps idéal: la farniente à l'ombre d'un arbre; la trace d'une civilisation que l'on délaisse avec plaisir.



Moi, en chemin et en quête de cet «objet d'amour perdu», pour parler (et écrire) comme mon père. Cet «objet» est-il devant ou derrière moi?


De retour, donc, d'un court mais intense voyage au Nicaragua, vers San Juan del Sur, à Las Mananitas... Retrouver ce lieu, ce n'est pas seulement retrouver un paysage que l'on aime, une mer et des plages divines, une culture, une nourriture et des habitudes des plus civilisées, c'est aussi et surtout retrouver nos amis Babette et Alain; des gens de cœur, de générosité et d'intensité hors du commun (je n'en dirai pas plus de peur de les faire rougir).


Se repose-t-on en vacances? Oui et non. Le «voyagement» est toujours un peu fatigant (des escales interminables, des liaisons à des heures incongrues, etc.); sur place, on boit et on mange toujours trop, et pourtant... Le «voyagement» est toujours excitant, on boit et on mange toujours avec plaisir et surtout, on rit, on parle, on pleure même parfois, avec une intensité particulière... Tout se vit en des moments privilégiés qui nous sortent du quotidien... L'émotion est le sang qui alimente notre esprit, et quand les émotions se multiplient, notre esprit n'est jamais aussi vivant.





Si Babette et Alain lisent ces lignes, je voudrais simplement leur dire ceci: merci.


Je suis à l'aéroport de Managua et je profite d'une connexion Internet pour annoncer mon retour prochain... Miami, puis Montréal au petit matin...

Une semaine de rêve dont j'hésite à vanter les mérites alors que je viens d'apprendre qu'il fait près de -12 degré à Montréal, alors qu'ici, le soleil est encore assez chaud...

On se revoit, photos à l'appui sous peu (j'ai oublié mon câble). Hasta luego!
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